Pour affronter la crise, vendez vos culottes usagées !
Environ 300 euros par mois, "80 euros les bonnes semaines". C’est ce que gagne Nikita P, 21 ans, en vendant ses petites culottes portées, par Internet exclusivement. "Je suis étudiante, je perçois une bourse d'étude mais je ne rechigne pas contre ces 300 euros supplémentaires, en particulier car j'ai mon propre appartement."
Elle a commencé il y a moins de trois mois, par hasard, un soir où elle s’ennuyait, après des remarques excitantes de son petit ami sur l’odeur de ses culottes en fin de journée:
"J'ai ouvert Google et j'ai commencé à taper le terme "culotte sale" et, j'ai alors découvert que de nombreuses jeunes filles et femmes proposaient leurs sous-vêtements portés à la vente.
D'abord intriguée, j'ai ensuite exploré tous les sites et tous les blogs de ces femmes, j'ai cherché les témoignages d'amateurs de lingerie et autres fétichistes, pour en venir à la conclusion: "Pourquoi pas moi?
J'avoue avoir besoin d'argent, mais j'apprécie également le contact avec les inconnus et savoir qu'un homme à l'autre bout de la France va recevoir une petite culotte que j'aurais portée m'émoustille assez."
Environ 300 euros par mois, "80 euros les bonnes semaines". C’est ce que gagne Nikita P, 21 ans, en vendant ses petites culottes portées, par Internet exclusivement. "Je suis étudiante, je perçois une bourse d'étude mais je ne rechigne pas contre ces 300 euros supplémentaires, en particulier car j'ai mon propre appartement."
Elle a commencé il y a moins de trois mois, par hasard, un soir où elle s’ennuyait, après des remarques excitantes de son petit ami sur l’odeur de ses culottes en fin de journée:
"J'ai ouvert Google et j'ai commencé à taper le terme "culotte sale" et, j'ai alors découvert que de nombreuses jeunes filles et femmes proposaient leurs sous-vêtements portés à la vente.
D'abord intriguée, j'ai ensuite exploré tous les sites et tous les blogs de ces femmes, j'ai cherché les témoignages d'amateurs de lingerie et autres fétichistes, pour en venir à la conclusion: "Pourquoi pas moi?
J'avoue avoir besoin d'argent, mais j'apprécie également le contact avec les inconnus et savoir qu'un homme à l'autre bout de la France va recevoir une petite culotte que j'aurais portée m'émoustille assez."
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